• À l'école

    Ici, je vais vous présenter quelques écrits que j'ai réalisé durant mon cheminement scolaire. Je n'étais pas totalement libre d'écrire ce que je voulais, j'avais un thème et des consignes à respecter; mais quelques projets m'ont particulièrement tenu à cœur.

  • C'est vrai, je suis totalement d'accord. Car tout d'abord, il faut dire que l'erreur est humaine et que personne n'est jamais à l'abri de ne jamais en faire. Mais cette phrase me rappelle aussi ceci: lorsqu'on crée quelque chose, que ce soit tout simplement une oeuvre d'art ou peut-être l'invention qui révolutionnera le monde, tout idée part d'un truc stupide mais naîtra d'une personne intelligente.


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  • Vous me voyez désolé si ce texte vous offence mais je n'y peux rien, je n'ai pas choisit le sujet et honnêtement je n'ai rien contre les personnes un peu plus rondes... Voilà.

    L'hérédité
    Premièrement, l'une des raisons qui expliqué l'obésité est l'hérédité. Par exemple, quelqu'un dont les parents sont gros aura plus de risques de devenir gros lui aussi. «Les personnes qui comptent des obèses dans leur famille présentent un risque quatre à cing fois plus élevé que les autres», dit Louis Pérusse, professeur au département de médecine sociale et préventive de l'Université Laval. En résumé, l'obésité peut être causé par l'hérédité.


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  • Sanguine (chapitre final)

    Donc voici une histoire (du moins, la fin) que j'ai fait en examen l'école. Notre professeure nous a fait lire un roman qui s'intitulait ''Sanguine''. Après avoir lu la fin, il fallait la réécrire et on avait le choix entre quelques ''situations''. On en choisissait une et il fallait continuer tout en gardant les personnages et le fait que certains personnages meurent et d'autres non etc... Alors voici le résultat :)

    Une légère bruine s’était installée tandis que Julien stationnait sa voiture devant la demeure de Roger Plante. La nuit sombre ne laissait briller aucune étoile dans le ciel. Stifer cogna une première fois à la porte. Comme il n’obtient pas de réponse, il cogna plus fort. Il ne reçu aucune réponse. Julien appuya frénétiquement sur la sonnette. En vain. La maison semblait déserte. Il fit le tour de la propriété, passant tantôt devant le garage, puis dans e jardin et, pour finir, près de la piscine. Il n’y avait aucune silhouette en vue. Il revint à la porte d’entrée et se risqua à tourner la pognée. La serrure n’était pas verrouillée. Quel genre d’ancien policier chevronné laissait la serrure de son domicile déverrouillée alors qu’il était absent? Il poussa la porte tandis que les pentures gémissaient. Un courant d’air le fit frissonner. Il se retourna, mais de put rien distinguer  dans la noirceur qui remplissait la maison. Puis, soudain, il sentit des bras agripper son cou et tenter de l’étouffer. Il voulut se débattre, mais son assaillant le maîtrisa d’un coup de pied se à l’arrière de genou. Julien s’écroula sous la douleur  dû à l’impact. L’inspecteur sentit une masse lourde ramper sur lui et lui griffer le torse jusqu’au bas des jambes. Il échappa  un cri de douleur atroce. Il voulut reculer, mais cette chose lui tenait fermement la cheville. Il sentit soudainement ce serrement s’envoler. Il trouva sa lampe de poche et l’alluma, les mains tremblantes. Son adversaire avait disparu et le silence était retombé. Il se releva en titubant et marcha, plié en deux. Puis, il continua à explorer la maison, sur ses gardes plus que jamais et à l’affût d’un son qui pourrait évoquer une éventuelle nouvelle attaque. Quelques secondes plus tard, la masse s’abattit de nouveau sur Julien, ce qui le terrassa au sol. Il fut ensuite frappé d’une rafale de coups de pieds dans le ventre et le dos tandis qu’il perçut le bruit d’une porte qui s’ouvrait tout près de lui. Les coups s’arrêtèrent enfin après ce qui parut une éternité. Il en profita pour se remettre debout avec tout le mal du monde. À ce moment-là, il regrettait d’avoir laissé sa curiosité prendre le dessus et, surtout, il se maudissait intérieurement d’être aussi naïf. Soudain, l’inspecteur sentit une main se poser sur son épaule. Il retint son souffle et écarquilla les yeux, craignant le pire, mais surtout ce qui était à venir… Trop étourdis par la douleur, il perdit l’équilibre lorsque son opposant le poussa. Tandis que Julien s’affaissait par terre, il fut projeté plus loin par un somptueux coup de pied qu’il reçu en plein thorax. Il finit sa course sur un plancher humide et froid de ciment, après être tombé du haut d’un escalier dont il n’avait même pas finit de dégringoler les marches. 

    - Bravo Julien, applaudit Plante. Tu as tout compris! Mais dommage que ta carrière se termine ici...

    Des lumières aveuglantes s'allumèrent.

    - Ce soir, tu seras la star de mon art au noir! continua Roger sur un ton diabolique.

    - Va en enfer sale enfoiré! cracha Julien dans un ultime espoir.

    - Allons, allons, du calme mon bravo ami... T'inquiètes, tu n'y verras que du feu jusqu'à la toute fin, dit Roger, amusé.

    Alors que celui-ci avait le dos tourné et préparait ''la scène'', Stifer en profita pour extirper son arme de son étui et tira sur son adversaire. Roger Plante sentit une brûlure dans son dos et comprit. Il se retourna vers Julien.

    - Enfoiré! Crève!

    Julien, en signe de victoire, lui lança sèchement :

    - C'est terminé!

    Puis Roger Plante s’effondra mollement.



    Alors? Des avis? :)


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